Ligne Verte 1517    

EN | FR

REPUBLIQUE DU CAMEROUN

Paix - Travail - Patrie
Présidence de la République

Commission Nationale Anti-Corruption (CONAC)

  

EN | FR

Ligne Verte 1517

Les membres des cellules de lutte contre la corruption mieux outillés

photo-Formation-membres-des-CLCC

Ils ont participé du 21 au 22 mars 2018, au siège de la CONAC, sis au Palais des Congrès de Yaoundé, à un atelier de renforcement des capacités, qui a porté sur cinq modules.

La formation se tenait en prélude au lancement de la 10e série des Initiatives à Résultats Rapides (IRR). Une centaine d’agents publics, issus des Ministères et Etablissements Publics Administratifs, membres des Cellules de lutte contre la corruption de leurs instituions, ont pris part à l’atelier. Les échanges ont été alimentés autour de l’état des lieux de la lutte contre la corruption au Cameroun, le coaching, l’apport de l’approche IRR, les points de convergence entre la Stratégie de Lutte Contre la Corruption, l’IRR et l’apport de la norme ISO 37001 à la lutte contre la corruption. Ces modules ont été animés par des responsables de la Division des Etudes et de la Coopération de la CONAC et un responsable de l’Agence des Nomes et de la Qualité (ANOR). Dans la foulée, les participants ont discuté des exemples de problèmes qui peuvent faire l’objet d’une Initiative à Résultats Rapides, pour mieux cerner les contours des problèmes auxquels ils vont s’attaquer les jours à venir.

Les échanges ont été bien appréciés par les représentants des Administrations pour qui, ce partage est d’un grand apport pour l’accomplissement de leur mission de lutte contre la corruption dans leurs structures. Ils ont également formulé des doléances que la CONAC fasse du lobbying auprès de leur hiérarchie pour que les cellules de lutte contre la corruption soient dotées de moyens leur permettant de mener à bien leur mission.

Lors de son passage dans la salle où se tenait l’atelier, le Président de la CONAC, le Rév. Dr. Dieudonné MASSI GAMS, comme pour inviter les participants à plus d’engagement, leur a dit qu’au Cameroun « les usagers des services publics ne sont pas encore des rois. Et les projets ne connaissent pas toujours des aboutissements heureux. » Pour lui, les prochaines présentations des IRR doivent sortir de la littérature pour être des statistiques permettant l’amélioration de l’évaluation du Pays.